Uhm.

C'est pas comme si on s'était pas déjà posé la question. Alors...on en est-on sur le sujet?

Esempio: le mec est en colère, il te fout une tarte.

Aïe!

Faut-il pardonner?

Ben, moi je dis... qu'il faut "processer" tout un tas d'autres trucs, d'abord.

Comme digérer et éliminer cette claque (si on n'a pas répondu taco taco par une trempe en retour, ou un coup de boule, au choix . NB: essayez le coup de boule, c'est assez jouissif).

Et puis pas trop se poser de questions.

What? ne pas se poser de questions quand on s'est pris une claque?!!!!!

Même pas sur la teneur et le sens de cette relation, du coup??

Yes, that's what I say.

 

L'idée est de savoir, exactement, et à l'avance, ce qu'on est, et ce qu'on veut. Autrement dit ce qu'on attend de cette personne- et des gens en général.

Quand quelqu'un vous met une claque, comment voudrez-vous réagir à ça?

(Oui, je sais, là, la syntaxe est bizarre, but think about it, ça a du sens).

 

Une claque, voyons...c'est oui, ou c'est non?

C'est un coup de boule en retour ou c'est des larmes?

C'est de la colère ou de l'anxiété (que ça revienne), ou c'est....rien sur notre chemin, le chemin qu'on s'est tracé?

 

Ah ah. Interesting hein?

 

Comment a-t-on prévu- si possible avant la claque- de laisser la claque, ou tout autre chose qu'on pourrait avoir à pardonner -autrement dit un comportement inapproprié de la part de l'autre- impacter notre vie?

(Dans l'acte physique, on parle de la claque ici, qui n'est jamais acceptable, mais on a déjà évoqué la violation extrême de notre espace intime, dans le viol. Et quand tu as subi ça, peut-on encore même imaginer l'idée de pardonner?)

Pardonner, or not pardonner?

 

 

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